Comment calculer le PIB avec l’approche par les dépenses ?

L’approche des dépenses pour le calcul du produit intérieur brut (PIB) prend en compte la somme de tous les biens et services finaux achetés dans une économie sur une période donnée. Cela comprend toutes les dépenses de consommation, les dépenses publiques, les dépenses d’investissement des entreprises et les exportations nettes. Quantitativement, le PIB qui en résulte est identique à la demande globale car ils utilisent la même formule.

La formule de calcul des dépenses PIB

GDP=C+I+G+(X-M) où : C=Dépenses des consommateurs

en biens

et services I=Dépenses des investisseurs

en biens d’

équipement des entreprises G=Dépensespubliques en biens et services publics X=exportations M=importsbegin{aligned}&GDP = C + I + G + (X – M) &textbf{where

:

&C = texte{Dépenses des consommateurs en biens et services} &I = texte{Dépenses des investisseurs en biens d’équipement des entreprises} &G = texte{Dépenses publiques en biens et services publics} &X = texte{exportations} &M = texte{importations} fin{aligné}

PIB=C+I+G+(X-M) où : C=dépenses des consommateursenbiens et services I=dépenses des investisseursen biens d’équipement des entreprises G=dépenses des pouvoirspublics en bienset services publics X=exportations M=importations

Dépenses PIB et demande globale

Les dépenses sont une référence aux dépenses. Un autre mot pour désigner les dépenses est la demande. La dépense totale, ou demande, dans l’économie est connue sous le nom de demande globale. C’est pourquoi la formule du PIB est la même que la formule de calcul de la demande globale. De ce fait, la demande agrégée et les dépenses du PIB doivent diminuer ou augmenter ensemble.

Toutefois, cette similitude n’est pas toujours présente sur le plan technique, surtout si l’on considère le PIB à long terme. La demande globale à court terme ne mesure que la production totale pour un seul niveau de prix nominal, ou la moyenne des prix courants pour tout l’éventail des biens et services produits dans l’économie. La demande agrégée n’est égale au PIB à long terme qu’après ajustement en fonction du niveau des prix.

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Approche par les dépenses vs. approche par les revenus

Il existe plusieurs façons de mesurer la production totale d’une économie. La théorie macroéconomique keynésienne standard propose deux méthodes de ce type pour mesurer le PIB : l’approche par les revenus et l’approche par les dépenses.

Des deux, l’approche par les dépenses est la plus souvent citée. La théorie keynésienne accorde une importance macroéconomique extrême à la volonté des entreprises, des individus et des gouvernements de dépenser de l’argent.

La principale différence entre l’approche par les dépenses et l’approche par les revenus est leur point de départ. L’approche par les dépenses commence avec l’argent dépensé en biens et services. À l’inverse, l’approche par les revenus commence avec les revenus tirés de la production de biens et de services (salaires, loyers, intérêts, bénéfices).

Du PNB au PIB

En 1991, les États-Unis sont passés officiellement du produit national brut (PNB) au PIB.

Le PNB et le PIB tentent tous deux de suivre la valeur des biens et services produits dans une économie, mais ils utilisent des critères différents pour déterminer cette valeur.

Le PNB suit la valeur totale des biens et services produits par tous les citoyens des États-Unis, indépendamment de leur localisation physique. (Il compte les personnes qui vivent à l’étranger, par exemple, et les investissements à l’étranger). Le PIB suit la valeur de tous les biens et services produits à l’intérieur des frontières physiques des États-Unis, quelle que soit leur origine nationale.

Par exemple, la valeur des biens produits aux États-Unis par des entreprises à capitaux étrangers serait incluse dans le PIB, mais pas dans le PNB. Si un résident des États-Unis investit dans des biens à l’étranger et en tire des revenus, par exemple, cette valeur serait incluse dans le PNB, mais pas dans le PIB.

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